Infirmerie

Un mal de tête réveilla Aiko, elle ouvrit une paupière.
*Je fous quoi ici ?!?*

Une infirmière vint vers elle, elle la regarde et prit sa température.

-Quesqui c'est passé ?
-Un monstre vous à envoié valser sur un mur. Un poignet cassé et des cotes félée.
-C'est le pompom.

Aiko se mit droite et voulu desecendre du lit.

-Vous voulez faire quoi ?
-Partir.
-Pardon ?
-J'ai bientôt une autre épreuve, donc je vais pas rester ici, à dormir, lorsque les autres équipes s'entrainent.

Ses habits avaient été nettoyé et plié. Aiko le prit d'une main et de l'autre, elle se désabilla. Prête, elle partit de l'infirmerie en direction du parc. L'infirmière courut appeler madame Pomfresh, Aiko sortit au triple galot.

parc

Aiko posa le verre, qu'elle avait réussi de finir avec peine. Elle leva les yeux vers Cédric. Un sourire angelique sur les lèvres et des yeux calmes..

-Pff quand tu me sourit comme ça, je peux plus rien faire. C'est agaçant.
-C'est le but. Dit-il en rigolant

Avec son pouce, Aiko caressa les minces cicatrices, qui venaient de se cicatriser.

-Pauvre de toi, tu as fahi devenir une pelote de files. Il faudra que je m'entraine plus.Dit-elle au haussant les sourcils.
-Je vais bien, mais toi, c'est une autre histoire.
-Yamete ! (=arrète !) J'en ai marre que tous le monde pense que je vais mal. Je le répéte une dernière fois : Je vais bien, comme tu peux le voir.

-Tu te répétes
-J'ai pas le choix.

Cédric leva un bras et attira Aiko contre lui. Elle sourit de plaisir et ferma les yeux.

Plongée dans un trou noir pendant de longs moment, Aiko était assise sur un sol invisible. Repliée sur elle même, elle se tenait le ventre. Elle sera les dents plusieurs fois en attendant que la douleur parte le plus vite possible. Tous d'un coup, une faible lumière l'éblouit. Aiko se leva et marcha vers la lumière jaune claire. Elle tendit une main peu sûr et tomba tête la première dans un gouffre, laissant ses entrailles derrière elle.
Aiko toucha ses hanches, mais aucune préssion lui indiqua que sa baguette n'était pas avec elle.

-UN RÊVE, UN RÊVE. REVEILLE TOI !!!!!! Tasukete (au secours) !!!!!!

Son stresse augmenta et Aiko commença à sufforquer. La lumière qui avant n'était qu'un point dans le noir, s'agrandit et laissa place à quelque chose de bleu. Aiko ajitait les bras dans tous les sens dans l'espoir de pouvoir s'accrocher à un objet dans cet enfini noir.
Se voyant approcher de la grande tâche bleu, Aiko se mit en boule. L'impact arriva plus vite que prévu, elle ouvrit les yeux surpris, le bruit de craquements de son corps ou de déchirement n'était pas ce qu'elle avait imaginer. Le bruit ressemblait plus au bruit d'un glaçon qu'on lance dans un verre remplit de liquide.

**Ara ?(hein ?) l'eau, l'eau !!!! Sugoi !**

Heureuse d'être dans son élément, Aiko se mit à nager librement, sans crainte. Les minutes passèrent et une chose importante lui traversa soudinement l'esprit, l'air. Pourtant, ses poumons ne semblaient pas en avoir besoin ici.
Aiko se laissa porter par sa joie.

HS J't'en supplie Laura relis quand tu ecris!!!!!!!!!!!!!
---> Fautes d'ortho et mots qui veulent rien dire: "Aiko commença au sufforquer; L'imparque; soudènement; prétion"

!!!!!!

Moi j'dis: Oh my god!

H.S.: Mdr! Soudinement XD
T'es vraiment vraiment trop forte Laura. Essaye d'écrire un tout petit peu plus lentement ptêtre et de te relire après. Oublie pas les négations non plus (même si je te l'accorde, on s'en fout un peu.)

Un rêve magnifique, noir d'encre, aucune douleur, rien. Se laissant porter par des vagues noires, Aiko sombrait petit à petit dans les songes, mais dormir dans un rêve... Des bruits stridents, des grincements.

**Alien ?!**

Aiko tappota autour d'elle, ses doigts ne touchèrent rien, que du vide, le néan. Les cris se modifièrent pour devenir des conversations, des chuchotements perceptible par un être humain normal. Après maintes analyses, Aiko reconnu les voix de ses amies, venues la voir.

-Vous parlez beaucoup trop fort.

Sur ces mots, la conversation cessa et après quelques secondes, elle recommença comme si elle ne s'était pas arrêté. Au loin, un soupir de décourargement. Une préssion coupa le souffle à Aiko, son âme revenait dans son enveloppe, partait d'un monde sans limite pour voir la vie en face. Très doucement, la jeune fille ouvrit des yeux, ils furent inondés de lumière claire.
Des cris fusèrent de partout et des doigts froids la touchèrent partout. Un nouveau grand soupir, puis des pats qui s'effacèrent dans le silence.

-Visite terminer, au revoir.Malgré toute la gentillesse mit dans cette phrase, l'ordre était net.

Le résultat ne se fit pas attendre, les cris partirent au grand soulagement d'Aiko.

-Bonjour ! Dit la voix joyeusement
-B'jour, il est quel heure ?

La voix d'Aiko était pâteuse et il fallait enclencher le stéréo pour l'entendre.

-15 heures. Vous étes guérie, madame Pomfresh a pu vous soigner à loisir. Tout fois, vous devez faire attention.

Aiko sourit, un sourir moqueur sur sa longue nuit. Elle avait jamais dormit autant.