Au sommet de la tour d'astronomie

//Le vent soufflait, mais cela n'empèchapa Luna d'y aller. Cette tour était le plus haute de tous le château et le paysage était fantastique. Il n'y avait personne et Luna put médité tranquillement. Au son de ses groupes préféré, elle commensa à danser.//

//Luna interceptée par Olivier, enleva son casque.//

-De MA FAUTE !?!?!

//Elle se dégagea de mains de fer qui l'emprisonnait.//

-Je ne t'ai rien fais à ce que je sache. C'est toi qui te fait des idées.

//Là, Luna ne put se retenir.//

- Premièrement: Tu ne sais pas ce que sa fait d'être rejetée et ridiculisée. Deuxièment: Je t'avais dit de me plus me parler et tu as fait tous le contraire. Troisièment: Tous le monde crois que tu es jaloux, car on a rien fait. Mais c'est toi qui ne m'a jamais touché, qui te dit que je ne voulais pas. Quatrièmement: Tu n'as pas le droit de mettre Ephram dans notre conflit, il ne ta striquement rien fait. Ah oui et si tu l'insulte encore, je te transforme en sensue!!!

//Elle prit une grande bouffée d'air.//

- Premièrement bis: Ced c'est fait bien plus ridiculiser que toi mais s'en est sorti avec panache alors que tu joue les petites princesses avec ridicule!
Deuxièmement bis: Je ne peux pas arriver dans un couloir sans te voir, tout ce que je veux, c'est que Cho soit heureuse mais tu réussis toujours à t'imiser dans ma vie!
Troisièmement bis: JE NE SUIS PAS JALOUUUX!!!!!!
Quatrièmement bis: Je ne me retiendrai pas si tu m'attaque.

Olivier reprit son souffle. Luna lui lançait un regard de braise qu'il avait d'ordinaire du mal à supporter. Cependant, il le soutint cette fois avec une violence qu'il ne se connaissait pas.

-TU N'ES QU'UN CRETIN, UN IMBECILE DE PREMIERE, TU ES RéPUGNANT, TU ES...UN GROS...gros...Tu m'énerve, à cause de toi, jai même plus d'insultes à te dire, pfff.

//Olivier, la mine attére, ne disait plus rien. Puis tous à coup, il éclata de rire. Luna le regarda bizarrement, mias quand une personne rigole, elle ne peut pas s'empècher de rire à son tour.//

//Elle reprit son souffle et lui tendi une main.//

-Je suis vraiment désolé Olivier. Je peux être une vrai peste de temps en temps.

//Luna sourit et après quelque éclats de rire, luna se leva, lui fit un signe de la main et descendi les escaliers.//

partie

Cédric serra les poings.

- Puis-je en placer une ???
- Pfff va-y mais bouge-toi... Et après, ne m'adresse plus jamais la parole compris ?!
-...

Le Pouffsoufle avança et s'accouda à la barrière.

- On avait pas le choix. Si mon père savait que c'était les votre, il irait en parler à vos parents et tu sais très bien ce qui arriverait. Les tiens te ferais quitter Poudlard pour que tu t'en occupe et ceux de Cho...
-...
- Il la tuerait.

Olivier frappa le muret violemment avant de tourner en rond comme un lion en cage.

- Sa n'explique pas ton comportement !!!
- Si, et tu le sais très bien...
- NON ! tu aimes toujours Cho ! Je le sais ! Tu profites juste de l'occasion !
- Si c'est ce que tu crois...

Olivier agrippa Cédric par l'épaule et le tira en arrière.

- Et pourquoi je ne pourrais pas épouser Cho ??? Les enfants seraient élever en toute l'égaliter !

Cho arriva en courant et trouve les jumeaux et Olie

-Qu'est ce qu'il se passe ici?

-Il se passe qu'Olivier et Cédric son entrain de se battre... repondit Fred

-Oh c'est pas vrai

Cho s'approcha de la porte et tambourina et demanda qu'ils ouvrent la porte puis attendit une reponse...

- Arrêtez! Arrêtez!...

Les cris parvenaient étouffés de derrière la porte.

** Cho...**

Ouvre Cédric! Cédric!!!

Olivier reprit son équilibre furieux. Cédric??!!

- AHH!!!!!!

Il se jeta sur le pouffsoufle et commença à le marteler de coups. Le jeune homme ne se laissa cependant pas faire, il prit un coup sur le nez et renvoya un atémis dans les côtes d'Olivier. Son genoux heurta sa mâchoire et lui brisa une dent.
Olivier cracha un peu de sang et sortit sa baguette. Un rayon sombre heurta la gorge de Cédric et son plexus. Son corps se déforma sous l'impact et il cracha du sang en prenant sa baguette.
Il enfonça son pied dans les parties d'Olivier qui plié en deux de douleurs ne put éviter le sortilège que lui lançait Cédric. La douleur fut la même que si des millier d'oiseaux le déchiquetait en même temps.

Il reprit sa baguette et avec un hurlement de rage, projeta Cédric dans le vide de la tour. Le pouffsoufle rugit et lança un autre sortillège, faiseaux lumineux s'enroulant autours d'Olivier, qui fut attiré dans le vide avec lui.

Ils continuaient à se battre en tourbillonant au milieu des flocons. La neige les accompagnaient dans leur chutte vertigineuses et leurs capes claquaient à leurs oreilles. Le sifflement de deux balais leur semblait de plus en plus proche mais ils étaient concentré l'un sur l'autre. Tuer était la seule chose valable alors qu'ils franchissaient la barrière des vingt mètres.